L'abbaye Saint-Sauveur de Charroux fut fondée au VIIIe siècle, vers 785.
Elle attira, lors de sa splendeur, de nombreux pélerins attirés par de précieuses reliques telles que la "Vraie Croix" et le "Saint Prépuce" (ou "Saint Vœu"). Aujourd'hui à l'état de ruine, elle ne conserve que sa tour lanterne à base octogonale, appelée "tour Charlemagne" pour rappeler que la première construction se fit sous son règne, et une partie son cloître.
Le reste servit de carrière, notamment aux XVIIIe et XIXe siècles, fournissant des pierres taillées pour de nouvelles constructions des hameaux voisins.
L'ensemble des vestiges est classé monument historique depuis 1950.
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5 mai 2025
28 juin 2021
Site gallo-romain de Sanxay
Découvert par l'archéologue jésuite Camille de La Croix (1831-1911) en 1881, le site archéologique de Sanxay, également appelé "ruines gallo-romaines d'Herbord", réunit des bâtiments antiques classés monuments historiques dès 1882.
Sur la vue aérienne ci-dessus, peuvent s'observer en bas à droite (sud-est) l'amphithéâtre et en haut à gauche (nord-ouest) les fondations du temple, les thermes étant abrités sous les toitures modernes visibles à haut à droite (nord-est).
Les différentes constructions datent du Ier siècle et s'organisaient autour d'une source d'eau aux vertus supposées guérisseuses qui attirait des pélerins curistes.
Le temple, en forme de croix avec un centre hexagonal, abritait la source.
L'amphithéâtre pouvait accueillir près de sept mille personnes.
Le sanctuaire des eaux disposait d'une piscine d'eau froide et de plusieurs piscines d'eau chaude.
D'autres constructions, principalement des habitations, restent aujourd'hui enfouies dans la terre.
Voir aussi :
Sur la vue aérienne ci-dessus, peuvent s'observer en bas à droite (sud-est) l'amphithéâtre et en haut à gauche (nord-ouest) les fondations du temple, les thermes étant abrités sous les toitures modernes visibles à haut à droite (nord-est).
Les différentes constructions datent du Ier siècle et s'organisaient autour d'une source d'eau aux vertus supposées guérisseuses qui attirait des pélerins curistes.
Le temple, en forme de croix avec un centre hexagonal, abritait la source.
L'amphithéâtre pouvait accueillir près de sept mille personnes.
Le sanctuaire des eaux disposait d'une piscine d'eau froide et de plusieurs piscines d'eau chaude.
D'autres constructions, principalement des habitations, restent aujourd'hui enfouies dans la terre.
Voir aussi :
25 avril 2020
Tour carrée, Loudun
Une grande tour carrée domine la ville de Loudun.
Initialement donjon en bois du château de Foulques III "le Noir", comte d'Anjou, au XIe siècle, la tour a été reconstruite en pierre au XIIe par Foulques IV "le Réchin".
Haute de 28 mètres, elle bénéficie de murs d'une épaisseur d'environ deux mètres.
Classée monument historique depuis 1877, elle profite actuellement d'une restauration pour réparer ses pierres malades à cause de l'humidité. Un escalier métallique intérieur sera installé pour mener ses futurs visiteurs jusqu'au chemin de ronde et au sommet de l'édifice.
Voir aussi : la Maison Carrée, à Nîmes.
Initialement donjon en bois du château de Foulques III "le Noir", comte d'Anjou, au XIe siècle, la tour a été reconstruite en pierre au XIIe par Foulques IV "le Réchin".
Haute de 28 mètres, elle bénéficie de murs d'une épaisseur d'environ deux mètres.
Classée monument historique depuis 1877, elle profite actuellement d'une restauration pour réparer ses pierres malades à cause de l'humidité. Un escalier métallique intérieur sera installé pour mener ses futurs visiteurs jusqu'au chemin de ronde et au sommet de l'édifice.
Voir aussi : la Maison Carrée, à Nîmes.
21 février 2018
La main jaune, Châtellerault
Parmi les ronds-points sortant de l'ordinaire que l'on trouve un peu partout en France,
se distinguait
"La main jaune", du sculpteur Francis Guyot, qui se dressait verticalement au milieu d'un carrefour giratoire près de Châtellerault.
Cette colonne monumentale en forme de bras jaune, le long de laquelle sept automobiles bleues semblaient descendre, surmontée d'une main tenant un œuf, fût construite en 2010. Haute de vingt-quatre mètres, l’œuvre pèsait, avec sa structure métallique, quarante tonnes.
Mais elle a été démantelée en 2019 à la suite d'un incendie. Ne subsistent plus que quelques panneaux explicatifs.
Cette colonne monumentale en forme de bras jaune, le long de laquelle sept automobiles bleues semblaient descendre, surmontée d'une main tenant un œuf, fût construite en 2010. Haute de vingt-quatre mètres, l’œuvre pèsait, avec sa structure métallique, quarante tonnes.
Mais elle a été démantelée en 2019 à la suite d'un incendie. Ne subsistent plus que quelques panneaux explicatifs.

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